A la demande d’un lecteur, nous publions le message suivant :« Le service public de Météo-France, anciennement “Météorologie Nationale“, est désormais sur le marché de la concurence. Structuré sous Napoléon III par Urbain Le Verrier,Météo-France
est aujourd’hui la cible d’une restructuration majeure et l’on pourrait
assister à la fermeture des centres dans 60 départements. Selon les
cas, les agents seront mutés dans les centres “survivants” ou invités à
quitter la fonction publique.
La réduction d’effectif serait d’environ 1 000 agents,
sur les 3 600 actuellement répartis sur l’ensemble du territoire,
agents qui observent une veille continue, 24h/24 et 365 jours par an.
“On notera que l’on a 6,2 agents par 1000 Km2 à Météo-France, 7,3 au Royaume-Uni et 7,8 en Allemagne (Rapport de la cour des comptes).
Les conséquences sont déjà connues : pour avoir des
informations gratuites ou moins chères, de nombreux médias, pilotes
d’avion, entrepreneurs de bâtiments et même certaines directions des
routes vont consulter des prévisions peu fiables, fournies par des
start-up françaises ou étrangères, et qui ne disposent d’aucun réseau
sérieux d’observation, tentant de convaincre que des stations
automatiques peuvent remplacer l’analyse humaine. »
Cela pourrait se traduire pour nous, par une réelle difficulté à l'aaccéssibilité des donnés, et une ouverture à la concurence, et à tous les prévisionistes