Non, non, il ne s'agit pas de cela...
Mais je tenais à noter tous les petits riens, les détails croustillants de notre équipe. Voici donc quelques photos de rnecontre, mises un peu en Vrac et souvent commentées. Elles dormaient au fond du forum, le les aient dépoussiérées pour vous...
un 'ti texte aussi...
Saurez vous localiser ce lieux??? Cette chasse???
Approcher mesdames et messieurs, venez ouïr de vos oreilles aguerries la fantastique histoire de ces chevaliers des temps modernes, espèces rares et non protégée des chasseurs d'orages mangeurs de crevettes au chocolat...
Cette histoire fantastique et merveilleuse commence en l'an de grâce (de grasse aussi, grâce aux fameuses auberges mac-gros) 2008, sous la deuxième année de règne de notre bon roy Sarkozyx premier du nom.
La reine Carla Brunix mandata dans l'heure, un fier chevalier du nom de Glougloune, grand chevaucher de carosses métalliques, vaguemestre honoré et honorable de moults marchandises et surtout, surtout... aventurier en quète de grands espaces de déchainements violents... Il se raconte que glougloune avait un vice particulièrement marqué pour les crevettes au chocolat frites dans une déconction d'aïoli. Ce péché de gourmandise faillit d'ailleurs le conduire au bûcher.
S'adjoignèrent à cette folle chevauchée deux écuyers Amauryx dit le Breton et Louix dit le fryzé, ainsi que moi Henryx, modeste conteur dont l'épanchement littéraire aliéné va, je l'éspère, bercer votre imagination dans la moiteure douillette et légère d'une aventure peu ordinaire qui n'a d'égale que la vigueure avec laquelle notre bon Roy à entrepris pour besogner sa promise.
Ce fut par une belle après midi d'été, alors qu'un vent chaud venue d'outre-méditérannée faisait ployer sous sa caresse langoureuse le grand ressac des blés qui reflètaient dans leur blondeur les flèches infinies de la cathédrales de Chartres, que de loin en loin, sans un frémissement, la voûte étoilée par l'astre de nos journées se couvrit de petites balles cotonneuses rappelant un peu la fesse molle de cette grosse dame, que je vit assise, la cuisse nue dans un fauteuil en osier.
Mais sans perdre un instant, et après avoir impressionné nos capteurs de ces vibrantes volutes, nous partîmes en territoire Champenois au confin de contrées hostiles et désertes à Boissy le Grand avec pour direction le sommet encore invaincu du Mont Août qui élève sa silouette altière, hérissée de séarcs et de pics inaccessibles de 297 mètres de hauteur...
Notre fidèle destrier qui jusque là nous avait conduit sans encombres rendit l'âme dans les premiers mètres de cette montée eprouvante... Ce fut grâce à l'aide d'un manant du fief menée par la ferule du Bailly baillotdansonberceau que nous pûmes repartir, non sans avoir remercié chaleureusement le paysan qui de sa batterie de chariotte nous à dépannée.
Le voûte sommitale de la montagne fut atteinte après une folle chavauchée à travers bois, champs et marécages peuplés de légendes et d'insectes suceurs de sang, toujours aptes à percer le cuir de vos armures de leurs dards effilés.
Après avoir dépassé le ressaut qui mène au sommet, nous eûmes la surprise de trouver Carlyx magnus (charles le grand), célèbre vaguemestre de notre bonne citée de Paris dépéché sur les lieux par le prévôt de cette grande et grise citée ou la pluie s'abbat comme les postillons d'un asmatique atteint par un rhume des foins sans tambours, ni trompettes.
L'attente fut de courte durée et déjà, de loin en loin quelques lueures vibrantes, caverneuses déchirèrent les ténèbres obscures de la nuit.
[center]Mais là ou les mots ne peuvent parfois suffire
les images savent par leurs pouvoirs pallier
au défaut d'imagination qui de nous transpire
de trop regarder sans imaginer.